Mon voisin et moi la suite
Après avoir lu sa petite lettre, je suis excitée mais hésitante. Je ne connais rien de lui. "Je serai seul", ça veut dire quoi ? Qu'il est marié, divorcé avec enfants, en coloc, vit avec sa mère ?
J'ai déjà eu quelques aventures d'un soir avec des hommes plus vieux et ce que j'en retiens c'est qu'ils aiment faire durer le plaisir. Et qu'ils adorent faire des cunni. Ça tombe bien, j'ai trèèès envie d'un bon cunni.
J'ai reçu la lettre un jeudi. J'ai donc deux jours pour me décider. Je passe ces deux jours dans un état d'excitation intense. J'ai très envie de baiser cet homme mais j'ai peur qu'il me prenne pour une nana beaucoup plus entreprenante que je ne le suis.
Je suis timide pour de vrai. J'ai peur de me trouver face à lui, figée d'appréhension et de ne pas profiter du moment. Je me dis finalement que je déciderai sur un coup de tête samedi, de pas me prendre le chou.
Samedi.
Je me réveille tout excitée, déjà toute mouillée à l'idée d'aller frapper chez lui et de me faire baiser. Bon, de toute évidence, ma chatte en chaleur a décidé pour moi, autant y aller à fond dans la séduction.
Je me prépare un bain, j'y ajoute une huile parfumée et j'y entre. Je commence lentement à me savonner, le cou, puis les épaules, les seins. Je titille mes tétons et les voit s'ériger tout de suite malgré la chaleur du bain. Décidément, je suis en mode chienne en rut.
D'une main, je me caresse le sein gauche, de l'autre, je pars explorer ma petite chatte. Mon clito est tout engorgé, je l'effleure à peine et une vague de plaisir afflue. J'ai tellement hâte d'être à ce soir. Je me masturbe en gémissant sans retenue.
Mon coloc est là, et il me demande si j'ai besoin d'aide. Mmm pourquoi pas. Je sors du bain, me sèche rapidement et le rejoint dans le salon, complètement nue. Il pose sa manette de jeu immédiatement et m'attrape par les fesses, lui assis, moi debout face à lui. Il écarte mes jambes, et plonge la tête dans ma chatte. Sa langue trouve tout de suite mon clito et il le lappe lentement, juste pour me rendre folle. Je lève une jambe, la pose sur le canapé pour lui donner un meilleur accès. Il me lèche de haut en bas, du haut du clito jusqu'à l'anus où il s'attarde un peu.
Il me tient par les fesses, et me les agrippe, les claque, les griffe. Il glisse sa langue entre mes petites lèvres et pénètre mon vagin. C'est si bon. J'agrippe ses cheveux et appuie sa tête contre ma chatte. Je veux jouir, je lui dis de me doigter. Il insère 2 doigts dans ma fente, le bruit mouillé qu'ils font en me pilonnant m'excite tellement. Je jouis enfin, j'inonde ses doigts et sa bouche de mon jus. Mes jambes me lâchent, il me soutient, il sait que mes orgasmes me laissent groggy quelques instants.
"Merci"
"Juste merci ? J'espérais la même chose en retour oh!"
"Je me préserve pour mon rendez-vous de ce soir"
"Salope" me lâche-t-il en souriant.
Bon, maintenant que ma chatte est un peu calmée, réfléchissons à la tenue que je vais porter. J'aime beaucoup la lingerie fine, la dentelle, les bodys, les collants.
Mais lui a aimé me voir juste avec un haut transparent sans rien dessous... Et franchement, j'adore encore plus ne rien porter en bas, me sentir facile d'accès, imaginer une main qui pourrait se glisser entre mes lèvres, effleurer mon clito à tout moment lorsque je suis dans le métro, dans les magasins ou dans la rue ...
Bon, ce sera sans rien en bas c'est sûr. Pour le haut, j'ai un joli soutif noir en dentelle, transparent. Et j'opte pour une robe moulante noire, qui me donne un côté très classe mais qui dès que je me penche, dévoile tout mon décolleté. Des bas noirs avec de la dentelle, des bottes noires .
Un peu de make-up, juste les yeux soulignés d'eye-liner, rien sur la bouche, je ne voudrais pas qu'il ait peur d'abîmer mon maquillage. 18h. Je commence à m'habiller avec la tenue prévue. J'ai passé l'après-midi à avoir envie de me toucher mais je me suis contenue. Plus je suis excitée, moins je suis timide, c'est parfait.
18h45.
J'y vais, je prends l'ascenseur. J'ai le cœur à 1000 à l'heure. J'arrive devant sa porte, je sonne. J'ai l'impression d'attendre 1000 ans avant d'entendre ses pas. Il se tient dans l'encadrement, immense, je dois lever les yeux vers lui et je suis plutôt grande. Il a une mèche de cheveux blonds qui se balade devant les yeux, un immense sourire et il sent divinement bon, une odeur de mâle mais discret, plus eau de Cologne que parfum. Il porte une chemise blanche et un jean.
"Bonsoir, je t'en prie, entre, moi c'est Arnaud"
"Bonsoir, moi c'est Althea"
Il a une voix très grave, ça plus son physique, j'ai l'impression de me mettre entre les griffes d'un ours. Il s'écarte pour me laisser passer, je le frôle en entrant et me dirige vers le salon (même configuration que mon appartement, c'est facile).
De toute évidence, il est en couple. Je vois des photos de mariage au mur du couloir, avec une jolie brune. Il me voit les regarder et me demande si ça me dérange qu'il soit marié. Je lui réponds que non, mais je ne suis pas une briseuse de couples et je veux juste me divertir sans prise de tête. Il me dit qu'on est donc sur la même longueur d'onde.
Je m'assois sur le canapé d'angle, en plein milieu. Il va dans la cuisine et revient avec une bouteille de champagne et deux flûtes. On parle de choses et d'autres, depuis combien de temps j'habite l'immeuble, mon âge, nos métiers. Il avait peur que je sois beaucoup plus jeune que mes 26 ans à l'époque.
Il met de la musique, et vient s'asseoir à côté de moi, tourné vers moi. "C'était pour quelqu'un en particulier la tenue que tu portais l'autre fois ?"
"Non, c'était un petit défi que je m'imposais, j'aime bien me dévoiler en public"
"Je t'avoue que j'ai beaucoup aimé que tu te dévoiles, tu as un corps magnifique"
"Tu espères donc en voir plus ce soir ?"
Ma question directe me surprend moi-même, ça ne me ressemble pas de prendre les rênes de la discussion.
"Ce que je vois est déjà incroyable mais oui j'aimerais en voir plus et te rendre le plaisir que tu me donnes juste à te regarder"
"Tu peux faire plus que me regarder".
Je me lève, me met face à lui et soulève lentement ma jupe. Il pose sa main sur ma cuisse, lorsque la dentelle du bas se dévoile. Puis il fait un petit "oh" de surprise lorsqu'il voit que je n'ai pas de culotte. Ma petite chatte rasée est offerte à ses yeux, il a une belle vue sur ma petite fente et la dévore du regard.
Il se lève brusquement, et m'attrape par les hanches. Il se penche vers moi et m'embrasse voracement. Je sens sa main droite passer entre mes cuisses. Il prend ma vulve en coupe et commence à me masturber. Je pose la main sur son entrejambe et sens sa bite déjà bien dure à travers le jean. Je la caresse sur toute sa longueur, elle paraît très épaisse, j'ai peur pour ma petite chatte et en même temps j'ai tellement besoin de me faire défoncer.
Ses deux mains remontent ma robe jusqu'à mes seins. Je finis de l'ôter. Il prend un temps pour reculer et me contempler. Avec mes bas noirs, mon soutif, sans culotte, haletante comme une petite chienne, je dois être un spectacle. Il me demande d'enlever mon soutif, je m'exécute. Mes seins, libérés, accrochent son regard. Il se colle à moi et les soupèse "ils sont sublimes, j'ai jamais autant bandé de ma vie".
Je le repousse sur le canapé, et le chevauche. Il est un peu avachi et a donc sa tête presque au niveau de mes seins. Il me les embrasse, les caresse, les palpe, me suce les tétons, les mordille. Je gémis comme une petite chienne, je sens sa bite tressaillir dans son jean à chacun de mes petits cris. Je lui ôte un à un les boutons de sa chemise. Il a le torse poilu, un peu de ventre, des bras bien musclés, j'adore.
Je veux voir sa bite, je me mets à genoux, et ouvre sa braguette. Je le caresse à travers son caleçon, il soupire déjà de plaisir. Il se lève et enlève en 5 secondes jean, chaussettes et caleçon. Il se rassoit et je peux enfin jouer. Elle n'est pas très longue mais très correcte, mais surtout elle est super épaisse. Je n'en fais pas le tour avec le pouce et l'index lorsque je la prends en main.
Je pose mes lèvres sur son gland, darde ma langue pour la glisser le long de son frein, lui lèche tout le pourtour du gland. C'est une douce torture, il veut aller au fond de ma gorge, toucher mon palais, me baiser la bouche et moi je le savoure comme un mets délicat.
Je le regarde dans les yeux et enfin l'avale tout entier. Il lâche un cri de plaisir. Je le suce avec ardeur, ne m'arrêtant que pour lui lécher les couilles ou le gland. "Qu'est ce que t'es belle quand tu suces" me dit-il dans un souffle.
Je lui fais mon plus beau sourire, me redresse et l'embrasse. Je lui demande une capote, il y en a une sous un coussin du canap... Un homme prévoyant, j'aime ça !
Je lui enfile la capote avec douceur, en le suçant encore et encore. "Chevauche moi, je veux voir tes seins se balancer" me dit-il dans un souffle. Obéissante, je tente de m'empaler sur sa queue. Elle est si grosse, je dois m'y reprendre à plusieurs reprises, et quand enfin elle passe mes petites lèvres, j'ai une délicieuse sensation d'écartèlement. Je me sens remplie comme jamais.
Il me prend par les hanches et m'aide à rebondir en rythme sur sa bite. Mes seins se balancent sous ses yeux, je me cambre pour qu'il les voie mieux, il y plonge la tête et me mordille les mamelons. Puis, il me présente ses doigts de la main droite, je les lèche et les suce en le regardant dans les yeux. Il me caresse le clitoris, et je m'approche de l'orgasme. Je lui dis de ne pas arrêter, que je vais jouir, "jouis, ma petite salope, je veux t'entendre crier".
Ses mots m'excitent tellement. J'accélère mon va et vient sur sa bite, arc-boutée à ses épaules. Je m'empale avec enthousiasme, donne toute mon énergie dans ces dernières secondes avant l'orgasme. Je crie sans retenue, j'espère que les voisins m'entendent et que ça les fait bander de savoir qu'une petite salope se fait copieusement baiser près de chez eux.
Je jouis, et comme toujours, je perds le contrôle de mes jambes quelques instants, il me soutient par les hanches et m'utilise comme une fleshlight. Puis il me demande de me mettre à genoux sur le canapé. Je m'exécute, encore tremblante de mon orgasme. J'ai les fesses tendues en arrière et il me prend par les hanches pour ajuster sa bite à l'entrée de ma chatte. Il me pénètre lentement, doucement, savourant la sensation de mes parois humides contre son énorme verge. Il prend son temps, moi qui suis habituée à me faire défoncer, j'avoue que je suis déstabilisée. Mais ce rythme lent me laisse le temps d'apprécier chaque coup de rein, chaque cm de sa bite en moi. Je commence à me réexciter...
Soudain il s'allonge sur moi, ses mains m'entourent et agrippent mes seins, il m'écrase contre le canapé et commence à me pilonner à grands coups dans la chatte. Je crie de surprise, mais très vite, je mouille de plaisir sous l'ardeur de ses coups de boutoir. "Défonce-moi ..."
Cette phrase, ça doit être celle que j'ai le plus dit, en couchant avec des hommes. Elle les galvanise souvent et ils me démontent alors avec toute leur force. Arnaud n'est pas différent, il halète dans mon cou en me baisant, me met des coups si profonds que ma tête cogne contre l'appuie-tête du canapé. Encore deux coups intenses et il se fige, je sens sa queue tressauter en moi, il jouit en silence, seule sa respiration m'indique qu'il a un orgasme puissant. Il se retire, me relève, m'embrasse et va jeter la capote.
Je me rassois sur le canapé et me ressers du champagne, toujours nue, avec mes bas. Il revient de la salle des bains, lève les yeux et me voit, les jambes croisées, les seins libres, les joues rouges de notre partie de sexe. "T'es belle tu sais. Tu veux me revoir ?"
"Oui, je pense qu'on n'a pas encore exploité tout notre potentiel à deux"
"Je veux me branler entre tes seins la prochaine fois"
"Je veux un cunni de 20 minutes" Il rigole "avec plaisir, j'adore faire des cunni" Depuis, quand il est seul chez lui, il me laisse un mouchoir dans ma boîte aux lettres. C'est toujours le week-end, je ne suis pas toujours disponible mais nous nous sommes revus ,4 fois. Il adore se branler entre mes seins, que je le suce et j'adore qu'il me lèche la chatte. On a plusieurs fois juste fait du sexe oral et c'était si bon. Je sais qu'il me lit et me mate sur Twitter, j'espère que sa propre histoire le fera bander.
Après avoir lu sa petite lettre, je suis excitée mais hésitante. Je ne connais rien de lui. "Je serai seul", ça veut dire quoi ? Qu'il est marié, divorcé avec enfants, en coloc, vit avec sa mère ?
J'ai déjà eu quelques aventures d'un soir avec des hommes plus vieux et ce que j'en retiens c'est qu'ils aiment faire durer le plaisir. Et qu'ils adorent faire des cunni. Ça tombe bien, j'ai trèèès envie d'un bon cunni.
J'ai reçu la lettre un jeudi. J'ai donc deux jours pour me décider. Je passe ces deux jours dans un état d'excitation intense. J'ai très envie de baiser cet homme mais j'ai peur qu'il me prenne pour une nana beaucoup plus entreprenante que je ne le suis.
Je suis timide pour de vrai. J'ai peur de me trouver face à lui, figée d'appréhension et de ne pas profiter du moment. Je me dis finalement que je déciderai sur un coup de tête samedi, de pas me prendre le chou.
Samedi.
Je me réveille tout excitée, déjà toute mouillée à l'idée d'aller frapper chez lui et de me faire baiser. Bon, de toute évidence, ma chatte en chaleur a décidé pour moi, autant y aller à fond dans la séduction.
Je me prépare un bain, j'y ajoute une huile parfumée et j'y entre. Je commence lentement à me savonner, le cou, puis les épaules, les seins. Je titille mes tétons et les voit s'ériger tout de suite malgré la chaleur du bain. Décidément, je suis en mode chienne en rut.
D'une main, je me caresse le sein gauche, de l'autre, je pars explorer ma petite chatte. Mon clito est tout engorgé, je l'effleure à peine et une vague de plaisir afflue. J'ai tellement hâte d'être à ce soir. Je me masturbe en gémissant sans retenue.
Mon coloc est là, et il me demande si j'ai besoin d'aide. Mmm pourquoi pas. Je sors du bain, me sèche rapidement et le rejoint dans le salon, complètement nue. Il pose sa manette de jeu immédiatement et m'attrape par les fesses, lui assis, moi debout face à lui. Il écarte mes jambes, et plonge la tête dans ma chatte. Sa langue trouve tout de suite mon clito et il le lappe lentement, juste pour me rendre folle. Je lève une jambe, la pose sur le canapé pour lui donner un meilleur accès. Il me lèche de haut en bas, du haut du clito jusqu'à l'anus où il s'attarde un peu.
Il me tient par les fesses, et me les agrippe, les claque, les griffe. Il glisse sa langue entre mes petites lèvres et pénètre mon vagin. C'est si bon. J'agrippe ses cheveux et appuie sa tête contre ma chatte. Je veux jouir, je lui dis de me doigter. Il insère 2 doigts dans ma fente, le bruit mouillé qu'ils font en me pilonnant m'excite tellement. Je jouis enfin, j'inonde ses doigts et sa bouche de mon jus. Mes jambes me lâchent, il me soutient, il sait que mes orgasmes me laissent groggy quelques instants.
"Merci"
"Juste merci ? J'espérais la même chose en retour oh!"
"Je me préserve pour mon rendez-vous de ce soir"
"Salope" me lâche-t-il en souriant.
Bon, maintenant que ma chatte est un peu calmée, réfléchissons à la tenue que je vais porter. J'aime beaucoup la lingerie fine, la dentelle, les bodys, les collants.
Mais lui a aimé me voir juste avec un haut transparent sans rien dessous... Et franchement, j'adore encore plus ne rien porter en bas, me sentir facile d'accès, imaginer une main qui pourrait se glisser entre mes lèvres, effleurer mon clito à tout moment lorsque je suis dans le métro, dans les magasins ou dans la rue ...
Bon, ce sera sans rien en bas c'est sûr. Pour le haut, j'ai un joli soutif noir en dentelle, transparent. Et j'opte pour une robe moulante noire, qui me donne un côté très classe mais qui dès que je me penche, dévoile tout mon décolleté. Des bas noirs avec de la dentelle, des bottes noires .
Un peu de make-up, juste les yeux soulignés d'eye-liner, rien sur la bouche, je ne voudrais pas qu'il ait peur d'abîmer mon maquillage. 18h. Je commence à m'habiller avec la tenue prévue. J'ai passé l'après-midi à avoir envie de me toucher mais je me suis contenue. Plus je suis excitée, moins je suis timide, c'est parfait.
18h45.
J'y vais, je prends l'ascenseur. J'ai le cœur à 1000 à l'heure. J'arrive devant sa porte, je sonne. J'ai l'impression d'attendre 1000 ans avant d'entendre ses pas. Il se tient dans l'encadrement, immense, je dois lever les yeux vers lui et je suis plutôt grande. Il a une mèche de cheveux blonds qui se balade devant les yeux, un immense sourire et il sent divinement bon, une odeur de mâle mais discret, plus eau de Cologne que parfum. Il porte une chemise blanche et un jean.
"Bonsoir, je t'en prie, entre, moi c'est Arnaud"
"Bonsoir, moi c'est Althea"
Il a une voix très grave, ça plus son physique, j'ai l'impression de me mettre entre les griffes d'un ours. Il s'écarte pour me laisser passer, je le frôle en entrant et me dirige vers le salon (même configuration que mon appartement, c'est facile).
De toute évidence, il est en couple. Je vois des photos de mariage au mur du couloir, avec une jolie brune. Il me voit les regarder et me demande si ça me dérange qu'il soit marié. Je lui réponds que non, mais je ne suis pas une briseuse de couples et je veux juste me divertir sans prise de tête. Il me dit qu'on est donc sur la même longueur d'onde.
Je m'assois sur le canapé d'angle, en plein milieu. Il va dans la cuisine et revient avec une bouteille de champagne et deux flûtes. On parle de choses et d'autres, depuis combien de temps j'habite l'immeuble, mon âge, nos métiers. Il avait peur que je sois beaucoup plus jeune que mes 26 ans à l'époque.
Il met de la musique, et vient s'asseoir à côté de moi, tourné vers moi. "C'était pour quelqu'un en particulier la tenue que tu portais l'autre fois ?"
"Non, c'était un petit défi que je m'imposais, j'aime bien me dévoiler en public"
"Je t'avoue que j'ai beaucoup aimé que tu te dévoiles, tu as un corps magnifique"
"Tu espères donc en voir plus ce soir ?"
Ma question directe me surprend moi-même, ça ne me ressemble pas de prendre les rênes de la discussion.
"Ce que je vois est déjà incroyable mais oui j'aimerais en voir plus et te rendre le plaisir que tu me donnes juste à te regarder"
"Tu peux faire plus que me regarder".
Je me lève, me met face à lui et soulève lentement ma jupe. Il pose sa main sur ma cuisse, lorsque la dentelle du bas se dévoile. Puis il fait un petit "oh" de surprise lorsqu'il voit que je n'ai pas de culotte. Ma petite chatte rasée est offerte à ses yeux, il a une belle vue sur ma petite fente et la dévore du regard.
Il se lève brusquement, et m'attrape par les hanches. Il se penche vers moi et m'embrasse voracement. Je sens sa main droite passer entre mes cuisses. Il prend ma vulve en coupe et commence à me masturber. Je pose la main sur son entrejambe et sens sa bite déjà bien dure à travers le jean. Je la caresse sur toute sa longueur, elle paraît très épaisse, j'ai peur pour ma petite chatte et en même temps j'ai tellement besoin de me faire défoncer.
Ses deux mains remontent ma robe jusqu'à mes seins. Je finis de l'ôter. Il prend un temps pour reculer et me contempler. Avec mes bas noirs, mon soutif, sans culotte, haletante comme une petite chienne, je dois être un spectacle. Il me demande d'enlever mon soutif, je m'exécute. Mes seins, libérés, accrochent son regard. Il se colle à moi et les soupèse "ils sont sublimes, j'ai jamais autant bandé de ma vie".
Je le repousse sur le canapé, et le chevauche. Il est un peu avachi et a donc sa tête presque au niveau de mes seins. Il me les embrasse, les caresse, les palpe, me suce les tétons, les mordille. Je gémis comme une petite chienne, je sens sa bite tressaillir dans son jean à chacun de mes petits cris. Je lui ôte un à un les boutons de sa chemise. Il a le torse poilu, un peu de ventre, des bras bien musclés, j'adore.
Je veux voir sa bite, je me mets à genoux, et ouvre sa braguette. Je le caresse à travers son caleçon, il soupire déjà de plaisir. Il se lève et enlève en 5 secondes jean, chaussettes et caleçon. Il se rassoit et je peux enfin jouer. Elle n'est pas très longue mais très correcte, mais surtout elle est super épaisse. Je n'en fais pas le tour avec le pouce et l'index lorsque je la prends en main.
Je pose mes lèvres sur son gland, darde ma langue pour la glisser le long de son frein, lui lèche tout le pourtour du gland. C'est une douce torture, il veut aller au fond de ma gorge, toucher mon palais, me baiser la bouche et moi je le savoure comme un mets délicat.
Je le regarde dans les yeux et enfin l'avale tout entier. Il lâche un cri de plaisir. Je le suce avec ardeur, ne m'arrêtant que pour lui lécher les couilles ou le gland. "Qu'est ce que t'es belle quand tu suces" me dit-il dans un souffle.
Je lui fais mon plus beau sourire, me redresse et l'embrasse. Je lui demande une capote, il y en a une sous un coussin du canap... Un homme prévoyant, j'aime ça !
Je lui enfile la capote avec douceur, en le suçant encore et encore. "Chevauche moi, je veux voir tes seins se balancer" me dit-il dans un souffle. Obéissante, je tente de m'empaler sur sa queue. Elle est si grosse, je dois m'y reprendre à plusieurs reprises, et quand enfin elle passe mes petites lèvres, j'ai une délicieuse sensation d'écartèlement. Je me sens remplie comme jamais.
Il me prend par les hanches et m'aide à rebondir en rythme sur sa bite. Mes seins se balancent sous ses yeux, je me cambre pour qu'il les voie mieux, il y plonge la tête et me mordille les mamelons. Puis, il me présente ses doigts de la main droite, je les lèche et les suce en le regardant dans les yeux. Il me caresse le clitoris, et je m'approche de l'orgasme. Je lui dis de ne pas arrêter, que je vais jouir, "jouis, ma petite salope, je veux t'entendre crier".
Ses mots m'excitent tellement. J'accélère mon va et vient sur sa bite, arc-boutée à ses épaules. Je m'empale avec enthousiasme, donne toute mon énergie dans ces dernières secondes avant l'orgasme. Je crie sans retenue, j'espère que les voisins m'entendent et que ça les fait bander de savoir qu'une petite salope se fait copieusement baiser près de chez eux.
Je jouis, et comme toujours, je perds le contrôle de mes jambes quelques instants, il me soutient par les hanches et m'utilise comme une fleshlight. Puis il me demande de me mettre à genoux sur le canapé. Je m'exécute, encore tremblante de mon orgasme. J'ai les fesses tendues en arrière et il me prend par les hanches pour ajuster sa bite à l'entrée de ma chatte. Il me pénètre lentement, doucement, savourant la sensation de mes parois humides contre son énorme verge. Il prend son temps, moi qui suis habituée à me faire défoncer, j'avoue que je suis déstabilisée. Mais ce rythme lent me laisse le temps d'apprécier chaque coup de rein, chaque cm de sa bite en moi. Je commence à me réexciter...
Soudain il s'allonge sur moi, ses mains m'entourent et agrippent mes seins, il m'écrase contre le canapé et commence à me pilonner à grands coups dans la chatte. Je crie de surprise, mais très vite, je mouille de plaisir sous l'ardeur de ses coups de boutoir. "Défonce-moi ..."
Cette phrase, ça doit être celle que j'ai le plus dit, en couchant avec des hommes. Elle les galvanise souvent et ils me démontent alors avec toute leur force. Arnaud n'est pas différent, il halète dans mon cou en me baisant, me met des coups si profonds que ma tête cogne contre l'appuie-tête du canapé. Encore deux coups intenses et il se fige, je sens sa queue tressauter en moi, il jouit en silence, seule sa respiration m'indique qu'il a un orgasme puissant. Il se retire, me relève, m'embrasse et va jeter la capote.
Je me rassois sur le canapé et me ressers du champagne, toujours nue, avec mes bas. Il revient de la salle des bains, lève les yeux et me voit, les jambes croisées, les seins libres, les joues rouges de notre partie de sexe. "T'es belle tu sais. Tu veux me revoir ?"
"Oui, je pense qu'on n'a pas encore exploité tout notre potentiel à deux"
"Je veux me branler entre tes seins la prochaine fois"
"Je veux un cunni de 20 minutes" Il rigole "avec plaisir, j'adore faire des cunni" Depuis, quand il est seul chez lui, il me laisse un mouchoir dans ma boîte aux lettres. C'est toujours le week-end, je ne suis pas toujours disponible mais nous nous sommes revus ,4 fois. Il adore se branler entre mes seins, que je le suce et j'adore qu'il me lèche la chatte. On a plusieurs fois juste fait du sexe oral et c'était si bon. Je sais qu'il me lit et me mate sur Twitter, j'espère que sa propre histoire le fera bander.
