Je connais mon coloc, Thomas depuis nos 13 ans. On s'est rencontrés au collège en 4e et on est devenus amis très vite. Il habitait le village d'a côté, j'allais en vélo chez lui, ou lui venait chez moi jouer aux jeux vidéo ou réviser (oui très bons élèves tous deux). Nous nous sommes mutuellement dépucelés à nos 16 ans et nous baisons régulièrement depuis. Mais l'histoire n'est pas à propos de lui. Elle concerne son frère, Axel. Il a deux ans de plus que nous. Comme mon coloc, il est grand, mince, imberbe... Et c'est un gros con. Il a toujours été harceleur avec moi. Du haut de ses 15 ans, il se moquait de la grande perche maladroite que j'étais à mes 13 ans, il me traitait de planche à pain, faisait comme si j'étais un mec. Ses mots me faisaient mal parce que je le trouvais si beau, j'étais folle de lui et je le détestais tout à la fois.
Le temps passe. Me voilà majeure, le bac en poche, ma première année de licence d'anglais aussi (j'ai donc 19 ans). Thomas est en coloc mais pas avec moi, avec Axel. A chaque fois que je vais le voir, je dois supporter son abruti de frère, qui est toujours aussi imbu de lui-même, plus encore maintenant qu'il est en fac de droit. Sauf que moi j'ai beaucoup changé. Je ne suis plus une grande perche plate. J'ai des seins, des fesses, des formes, et cela fait trois ans que j'explore mon corps et ma sensualité. J'adore le sexe, j'enchaîne les partenaires trouvés via les jeux vidéo et AdopteUnMec c'est ma période insouciante et aventurière (mais avec capote, insouciante mais pas inconsciente).
Axel a changé de comportement avec moi, bien que toujours ultra prétentieux, il ne me manque plus de respect. Lorsqu'il me croise, en rentrant alors que je pars il me propose de rester manger. Je refuse toujours, d'un ton glacial. Jusqu'à ce fameux soir...
C'était un dimanche soir, il fallait que je dorme sur Lille (je vivais encore chez mes parents à 45kms de Lille et faisait l'aller retour en train chaque jour) car le lendemain j'avais un partiel très très tôt et il y avait une grève de trains. Thomas me propose bien sûr de dormir chez lui, j'accepte malgré son frère. Thomas, à l'époque avait une copine, Marion, qui lui a fait une crise pour qu'il passe la soirée chez elle ce soir-là... Donc il m'a lâchement abandonné... Moi qui bien sûr avait planifié de baiser avec lui une bonne partie de la soirée.
Me voilà donc seule dans le salon, semi-allongée sur le canapé, dans ma petite robe noire sans culotte, dépitée. Il y a Prison Break à la télé, je regarde d'un œil mais je suis trop excitée pour vraiment m'intéresser à l'intrigue. Je commence à me caresser doucement, la porte du salon est dans mon dos, mais je me dis que j'entendrais si Axel rentre, la porte d'entrée faisant beaucoup de bruit. Je lèche mon index et mon majeur et masse le pourtour de mon clitoris, je fais des cercles lents, je profite et commence à me détendre, les jambes bien écartées. Une fois bien humide, je m'insère un doigt. Le bruit de ma chatte mouillée m'excite énormément, je gémis, certaine de ne pas être dérangée. Je continue, un doigt dans la chatte et deux sur mon clito, je veux jouir sur ce canapé et tant pis si je mouille dessus, Thomas n'avait qu'à être là.
"Il reste de la pizza?"
Mon cœur s'arrête, Axel est là et je ne l'ai pas entendu rentrer ! Il est dans l'encadrement de la porte mais ne m'a pas vue, il regarde de l'autre côté vers la cuisine. Il tourne la tête vers moi, je viens de refermer les cuisses à la vitesse de la lumière, mais je n'ai pas eu le temps de reprendre contenance, il a dû voir quelque chose de bizarre dans mon expression. Il a un petit sourire en coin et me demande "tu faisais quoi?" Je repense à mes gémissements et je me dis qu'il est impossible qu'il ne m'ait pas entendue. Je me sens idiote et en colère, excitée aussi à l'idée qu'il ait pu me voir (mes débuts d'exhib ^^), je lui réponds sèchement "ton frère m'avait dit que tu rentrerais tard, me voilà déçue". Il me répond "désolée ma grande, mon plan Q était pas dispo, excuse moi de rentrer chez MOI". Ce "ma grande" condescendant...
Il va à la cuisine prendre une part de pizza et vient se poser dans le canapé à l'autre bout de moi. Qui suis semi-allongée, les genoux pliés. En robe. Sans culotte. Je n'ose pas remuer d'un pouce. Si je bouge, il verra ma petite chatte trempée, il verra l'humidité sur le canapé.
Il essaye de me faire la conversation, me pose des questions sur mes études, mon job étudiant, sur mon partiel demain. C'est la première fois que je le vois aussi aimable. Je réponds par monosyllabes, je veux qu'il s'en aille, je sens mon jus couler le long de ma fente, il va finir par le voir... Son regard va de mes yeux à mes jambes, il ne peut s'empêcher de les mater, il y revient constamment. Je me sens piégée et étrangement ça commence à m'exciter ... Je décide de me redresser, ce faisant, j'écarte légèrement les jambes, ses yeux s'arrondissent de surprise. Il a l'oeil celui-là.
La tension monte d'un cran. On la sent dans l'air, vous voyez de quoi je veux parler, cette atmosphère, comme celle d'avant l'orage en été, où tout est lourd, figé, en attente. J'adore cette ambiance.
On regarde Prison Break sans parler quelque temps. Aucun de nous ne suit vraiment l'épisode. Je ne veux pas faire le premier pas, j'ai ma fierté, je veux qu'il soit à genoux, qu'il brûle de désir pour moi.
J'ai soif avec tout ça, je me lève et vais à la cuisine pour prendre un verre d'eau du robinet. Je bois mon verre quand soudain, je sens ses mains sur ma taille. Il m'a suivi à la cuisine. Je me fige, je sens son souffle sur mon cou. Il pose ses lèvres sur la jonction entre mon cou et mon épaule. C'est délicieux et j'en frissonne. Mais ce serait trop facile. Je me retourne et le repousse, je lui ris au nez et le contourne pour aller au salon. Il m'attrape le bras, me chope par la taille et me demande "J'ai mal compris peut-être ? T'as l'air plutôt en manque je voulais juste t'aider"
"En manque mais pas désespérée à ce point, merci" J'ai un petit sourire moqueur, il a l'air déstabilisé mais pas assez, il garde le contrôle et me tient toujours par la taille.
"Pourtant tu n'as pas l'air de partir" me dit-il.
"Peut-être parce que j'ai peur que tu ne me lâches pas et que je n'arrive pas à partir"
"Peut-être que j'ai envie que tu luttes contre moi"
"Peut-être que je vais crier au viol et rameuter tous les voisins"
"Essaye" à nouveau il m'embrasse dans le cou à pleine bouche, je sens même ses dents.
Il fait une tête de plus que moi, je me sens toute petite dans ses bras et plus chaude que jamais. J'ai un mélange de haine et de désir pour lui, c'est puissant, je vois la même lueur animale dans son regard, je sais que si je lui dis oui, il n'y aura rien de tendre entre nous. Je me colle à lui, le regarde avec mépris et lui dit "en fait je pense que tu serais incapable de me faire crier..." J'ai un petit sourire goguenard. Il a un grand sourire, un sourire de carnivore.
Il m'attrape par les fesses et m'embrasse durement. Il m'entraîne dans le salon, et sans perdre de temps il m'arrache ma robe. Ses mains parcourent et pétrissent mon corps, mes fesses, mes cuisses, il glisse sa main entre mes jambes et fait rouler mon clitoris sous ses doigts. Il sent comme je suis trempée et son regard s'illumine "t'es tellement bonne putain, tu me rends fou" Ses mots me rendent chienne. Il enlève mon soutien-gorge sans peine et me malaxe les seins sans douceur, il me pince les tétons à me faire crier, les porte à sa bouche et les mordille. C'est si intense, je me sens dans un état second, je ne suis que sensations, j'adore qu'il me maltraite.
Il recule, me contemple de haut en bas, ouvre sa braguette et ôte son jean. Il enlève son tee-shirt et je peux apprécier ses muscles fins, dessinés par la natation. Il se débarrasse de son boxer noir et je vois enfin sa bite, dure comme du bois, érigée et impatiente. Elle est d'une belle taille, pas monstrueuse mais bien faite et épaisse. Comme son frère, ai-je le temps de penser.
On est tous les deux trop excités pour des préliminaires, je lui demande une capote, il court dans sa chambre et revient en 10 sec. Je me mets à genoux et lui suce rapidement la bite, juste pour l'humidifier pour aider à enfiler la capote. Il me relève et me jette sur le canapé, je me mets à genoux au bord, le cul relevé, la tête enfoncée dans les coussins. Il me prend par les hanches, et me pénètre de toute sa longueur, violemment. Je crie de surprise plus que de douleur, et il se met à me pilonner la chatte comme jamais je n'avais été pilonnée auparavant. Ses coups de rein me déséquilibrent, il doit me porter à moitié, je m'abandonne totalement à sa furie, de peur d'avoir mal si je résiste. Rapidement, l'excitation reprend le dessus, c'est une découverte pour moi, je réalise que j'adore être baisée violemment, j'adore n'être qu'un objet de plaisir et qu'on m'utilise. Je crie comme une chienne, je perds le contrôle, c'est si bon de se faire dévaster de la sorte, il me tient les seins et tire sur mes tétons tout en me baisant, il crie aussi fort que moi. Je jouis si fort que mes jambes ne me portent plus, il jouit quelques secondes plus tard, couché sur moi, sa verge enfouie au plus profond de ma chatte. Nous sommes restés quelques dizaines de secondes ainsi, sonnés.
Puis je me suis rappelée de la capote... Première pilule du lendemain. Premiers tests MST avec la peur au ventre. Heureusement, pas de mauvaise surprise.
Pendant un an et demi après ça, j'ai recouché avec Axel régulièrement. Pas à l'appart, car Thomas était là et n'était pas au courant à l'époque. Le plus souvent on allait sur un parking de centre commercial et il me baisait à l'arrière ou sur le capot de sa voiture. Nous n'avions aucune amitié, aucune conversation, aucune affection pour l'autre. Juste ce besoin viscéral du corps de l'autre, cet "angry sex" qui nous faisait sortir de nous mêmes. Il est le premier que j'ai avalé, je n'arrivais pas à le faire avant. Le premier qui a essayé de me prendre le cul aussi et m'a fait si mal que je suis toujours vierge aujourd'hui...
Il s'est marié il y a trois ans. J'ai été invitée, en tant qu'amie de la famille. Je ne l'avais pas vu depuis au moins deux ans. Il m'a envoyé un message pendant la soirée pour que je le rejoigne à l'étage du petit château où le mariage se fêtait. J'y suis allée, avec Thomas. On a baisé dans une pièce qui servait de remise, avec plein de chaises. J'ai fait exprès de gémir aussi fort que je le pouvais... Le dernier message d'Axel : "Espèce de petite putain..."